1ère Journée sans emballage 2010
Après les images insoutenables d’hier de la Planète plastique : Histoire sans parole, aujourd’hui 12 juillet c’est la Journée sans emballage. Rejoignez le groupe Journée sans emballage sur facebook. Et aussi Stoppons le suremballage / stop overpacking RDV le 12 juillet 2010 ou encore STOP SUREMBALLAGE / STOP OVERPACKING FOR ENVIRONNEMENT et pour finir le groupe de menfin : Facebook | marre des emballages…
- Après le passage en caisse, on laisse sur place l’emballage que l’on considère abusif et inutile.
- Exemple : L’emballage carton qui accompagne le tube de dentifrice, le carton qui entoure les crèmes desserts etc… Partout en Europe.
- Et le must c’est d’acheter des produits sans emballage, non ? ;)-
- Encore plus fort, on achète rien du tout ;)
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Et moi je pousse un petit coup de gueule contre ces grandes marques qui veulent nous faire avaler des couleuvres, qu’elles sont the meilleures best protectrices de l’environnement parce qu’elles ne proposent plus de suremballage pour leur packs de 4 yaourts par exemple, pffffff ça existe depuis belle lurette et c’est plus pour bien se faire voir et pour leur porte-feuille parce que le prix final pour le consommateur, il a pas baissé lui ;)-
- Et un petit rafraichissement sur comment faire pour faire maigrir sa poubelle ;)- :
- Comment je réduis mes poubelles petit à petit…
- Parlez-en à votre boulanger ;)
- La petite Madeleine et le suremballage…
- Offrir du recyclé, en voilà une bonne idée !
- La Semaine Européenne de Réduction des déchets (21 au 29 novembre 2009)
- De l’eau qui pétille faite maison…
- STOP au suremballage des produits!
- etc…
Pourquoi relever le Défi survivre sans emballage? Parce que les emballages sont omniprésents dans notre entourage, à un point tel que l’on ne s’en rend souvent plus compte… le Défi sans emballage 2009, nous met au défi d’y porter attention et de réduire notre consommation d’emballages à usage unique (…) Parce que les emballages représentent près de 50 % du volume de déchets générés et constituent par conséquent une source de pollution importante (…) En effet, pourquoi s’arrêter particulièrement au cas de l’emballage? Il y aurait tant de causes environnementales à défendre. Pourquoi avoir choisi celle-ci? D’abord, l’emballage à usage unique est omniprésent. Tellement omniprésent, qu’on ne le remarque plus. Qui s’étonne encore devant un petit jus dans une boîte dans une pellicule plastique dans une autre boîte dans une autre pellicule plastique? L’emballage est omniprésent! Deuxièmement, l’emballage à usage unique ne nous mérite pas. La preuve? La première chose que l’on fait, c’est de s’en débarrasser! Quand on reçoit un cadeau dans une belle boîte, que fait-on? On la garde pour la réutiliser. L’emballage qu’on jette est celui qui est, à nos yeux, trop inutile pour être réutilisé. Se promènerait-on avec des vêtements qui ne valent pas la peine d’être portés une deuxième fois? L’emballage à usage unique est chiche. Il ne nous mérite pas! De plus, l’emballage à usage unique n’est pas pratique! Il pince l’intérieur des doigts lorsqu’il est trop plein, il laisse le jus de viande couler, il déchire… Qui s’en étonne? S’il était pratique, on ne le jetterait pas! Le principal avantage qu’on lui trouve est celui de pouvoir ne pas s’en encombrer lorsqu’on n’a pas de place. Soit. Mais, au fait, vous n’auriez pas déjà un petit sac? Une petite sacoche? Une petite voiture… L’emballage est un outil de réflexion idéal car, superficiel au premier coup d’oeil, sa remise en question touche une panoplie d’enjeux et mène directement au coeur d’un système économique qui s’emballe et auquel il faudra bien un jour ou l’autre redonner un peu d’humanité. Ainsi, réduire les emballages, c’est un geste pour l’environnement et bien plus, car lorsque j’achète un pain nu… On ne peut en dire autant de la plupart des pains qu’on retrouve sur les rayons d’épicerie. D’ailleurs, dans la logique de conservation temporelle maximale, des agents peu recommandables sont souvent incorporés dans les ingrédients de ces derniers. L’emballage qui pollue le moins, c’est celui qu’on ne produit pas! En réduisant la consommation d’emballage à la source, on réduit son impact environnemental.
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- A lire aussi :
Elféesuremballagement vôtre
Motercalo ou… Pour le respect des saisons…
Découvrez pourquoi ce motercalo* ne s’attaque qu’à certains légumes et pas d’autres ;)-
par dothegreenthing
C’est en anglais mais ce n’est pas difficile à comprendre, le message passe très bien, isn’t it ? Mais si vous ne comprenez rien, je vous livre ici la traduction intégrale ;)
Motercalo* : L’art et la manière de l’assassin des fruits et légumes…
- Ils vous forment pour la mission, Motercalo Born to Be Wild, mais avant tout ils vous apprennent à attendre, attendre le bon moment… Des Motercalo bien accrochés
- Lundi, lundi c’était le rutabaga. Fraichement arrivé de l’aéroport. Motercalo in the Voyager to the Lolita Strain. Il ne devrait même pas être encore ici. Il ne devrait pas être ici avant septembre.
- Mardi : épi de maïs, nom de code : maïs doux, une promenade dans le parc, Motercalo en extase devant la nature…
- Mercredi : laitue iceberg, un mini coup au marché, tâche simple, La tache de Motercalo.
- Comme mon professeur Kabu Sensei avait l’habitude de dire « Ne jamais oublier que chaque fruit et légume a sa saison ». « Le cycle de la nature. » « L’homme a rompu l’équilibre, nous devons réparer l’équilibre. » Et surtout il n’y a Pas de micro-blogging avec Motercalo.
- Jeudi : c’est Le temps des cerises de MoterCalo…
- Vendredi : J’ai acheté un Motercalo !…
- Samedi : Pluie, orage et tempête MoterCalo !
- Dimanche : personne ne comprend cette vie, la solitude, Motercalo et Le Monde du silence, l’abnégation, Le rêve de Motercalo…
- Non ! Ce n’est une asperge saisonnière ! Mais bien une Composition de Motercalo ! Si je l’élimine je peux aussi éliminer les étoiles, le ciel, moi-même, Je vais prier St Motercalo !
- Nous nous approchons de lui… Motercalo passe The Doors… Nous l’avons !…
- Je ne fais que passer… Jusqu’à la prochaine saison.
Moralité : « Ne jamais oublier que chaque fruit et légume a sa saison »
Kabu Sensei
*tueur à gage d’un genre un peu spécial (cf: House et le cas Motercalo)
Pour en savoir plus :
- www.dothegreenthing.com (c’est en anglais)
Ils en parlent :
Manifeste pour la liberté d’expression des blogueuses-lectrices
Mon blog n’est pas à vocation littéraire, vous l’aurez sans doute remarqué si vous me suivez un tantinet soit peu, même si par deux ou trois fois je me suis essayée à la courte critique de tel ou tel ouvrage (ouvrages plus portés vers la cosméto-home-made ou l’écologie), mais le post qui suit : Lis et tais-toi !, découvert au hasard de mes lectures bloguesques, m’a quelque peu interloquée même si cela ne m’étonne qu’à moitié. Et comme ce qui va suivre pourrait aussi être transposé pour d’autres choses (ce qui est arrivé ici Antigone et à d’autres lectrices(cliquer sur les liens chez Theoma pour en apprendre plus) pourrait arriver à n’importe qui d’entre-nous pour d’autres domaines) et que je partage le point de vue que Theoma qui a trouvé un excellent logo au Manifeste d’une blogueuse-lectrice…furibonde instigatrice de ce qui va suivre, j’y adhère et je vous le fais découvrir :
« Je revendique Le droit de lire ou de ne pas lire un livre |
Si vous aussi vous vous sentez concerné(e) par ceci, Theoma vous invite à reprendre à votre tour ce logo (cliquez pour télécharger) à y ajouter votre propre engagement ou reprendre celui-ci en lien.
Ce manifeste pourrait très bien convenir pour le droit de bloguer ou de ne pas bloguer ou encore aux femmes de motercalo ;)-
Elféelecturement vôtre
Le Limousin sur le podium des régions les plus vertes
Qu’il fait bon vivre en Limousin, c’est maintenant une certitude… Les Régions de France ont été passées au crible du développement durable par le magazine Terra Eco.
Dans quel coin de France peut-on être certain de ne pas faire d’indigestion de nitrate en ingurgitant un verre d’eau du robinet ? Où peut-on créer son entreprise avec le maximum de sécurité, éviter d’alimenter les statistiques du chômage, avoir le plus de chance de trouver une place en crèche pour son petit dernier… Pour répondre à ces questions, le magazine Terra Eco a épluché le bilan de 22 régions françaises en matière de développement durable. Cette photo instantanée montre la mobilisation très forte des régions dans les trois grandes composantes du développement durable : l’environnement, l’économie et le social. Sur le podium, on trouve Rhône- Alpes, puis Midi-Pyrénées suivi du Limousin, un peu “ plombé ” par les trajets en voiture, inévitables dans une région rurale comme la nôtre. |
Source : La Lettre du Limousin n°87
A noter aussi un effort à fournir du côté de l’agriculture bio, paradoxe oui et non, le Limousin étant une région plus d’élevage que maraîchère… Concernant l’environnement, le Conseil général de la Haute-Vienne travaille à la protection des milieux naturels sensibles, forêts et espaces protégés. Il intervient aussi dans le domaine de la gestion de l’eau pour lutter contre les pollutions des rivières et des nappes phréatiques. Il assure enfin, pour le compte des communes, le contrôle des systèmes d’assainissement autonomes. Par ailleurs, dès mars 2006, le Département s’est engagé dans une démarche Agenda 21, afin de répondre aux principaux enjeux environnementaux et de solidarité pour la Haute-Vienne de demain.
Elféevertement vôtre
Une assiette contre la faim
Suite à mon article sur l’action de Dryade, oth67 m’a fait part de son action avec Action contre la Faim, que je souhaite juste souligner en passant. A l’instar de oth67, si vous êtes professeur d’école, de collège, ceci pourrait peut-être vous intéresser. En effet en proposant le projet pédagogique, ça mange pas de pain car ça ne coûte rien à l’école tout est fourni par ACF, « Une assiette contre la faim » à décorer ses élèves, ces derniers ont réalisé de superbes assiettes qu’ils ont ainsi pu vendre à leur proche. Par cette vente au profit d’Action contre la Faim, ils se sont rendus solidaires des enfants du monde qui n’ont pas la chance d’avoir comme nous à manger tous les jours.
- Pour voir les œuvres de ces élèves, un petit clic chez blogosth ici: Une assiette contre la faim
- Merci à Olivier d’avoir relayé chez lui : Motercalo à la Jirga de la paix
Elféessiettement vôtre
Francis Cabrel : Répondez-moi (mais où est donc Motercalo ?)
Alors que LautreJe cartonne avec Lady Gaga a un Mortercalo ou encore sexy House et le cas Motercalo, qu’Olivier nous décortique l’actu du Motercalo (voir par exemple Le K-129 vs le Motercalo ou encore Motercalo sous Acid) chaque soir et qu’Armando nous émerveille avec Ah la belle toile, 23 mai 2010, je me contente de m’abreuver de Francis Cabrel avec « répondez-moi (mais où est donc Motercalo ?) » en live hors saison : 6 minutes de pur bonheur !
Francis Cabrel : Répondez-Moi
Je vis dans une maison sans balcon sans toiture
Ou y a même pas d’abeilles sur les pots de confiture
Y a même pas d’oiseaux même pas la nature
C’est même pas une maison
J’ai laissé en passant quelques mots sur le mur
Du couloir qui descend au parking des voitures
Quelques mots pour les grands (Mais où est donc Motercalo?)
Même pas des injures
Mais… Si quelqu’un les entend
Répondez-moi
(Mais où est donc Motercalo?)
(Répondez-moi)
Mon cœur a peur d’être emmuré entre vos tours de glace
Condamné au bruit des camions qui passent
Lui qui rêvait de champs d’étoiles de colliers de jonquilles
Pour accrocher aux épaules des filles
Mais le matin vous entraîne en courant vers vos habitudes
Et le soir, votre forêt d’antennes est branchée sur la solitude
Et que brille la lune pleine
Ou que souffle le vent du sud
Vous vous n’entendez pas
Et moi je vois passer vos chiens superbes aux yeux de glace
Portés sur des coussins que les maîtres embrassent
Et pour s’effleurer la main il faut des mots de passe
Pour s’effleurer la main
Répondez-moi
(Mais où est donc Motercalo?)
(Répondez-moi)
Mon cœur a peur de s’enliser dans aussi peu d’espace
Condamné au bruit des camions qui passent
Lui qui rêvait de champs d’étoiles et de pluies de jonquilles
Pour s’abriter aux épaules des filles
Mais la dernière des fées cherche sa baguette magique
Mon ami le ruisseau dort dans une bouteille en plastique
Les saisons se sont arrêtées aux pieds des arbres synthétique
Il n’y a plus que moi (et Motercalo)
Et moi je vis dans une maison sans balcon sans toiture
Ou y’a même pas d’abeilles sur les pots de confiture
Y’ a même pas d’oiseaux même pas la nature
C’est même pas une maison
Elféeréponsement vôtre
Et sans transition « Toulouse champion d’Europe ! » C’est Motercalo qui va être content !!
- PS : Alors ? Vous avez trouvé Motercalo ?
- Re PS ; J’ai toujours un train de retard, je sais, je sais ;)
Des arbres bien étranges
D’autres arbres tout aussi extraordinaires, c’est par ici : 10 Strangest Trees on Earth
Elféeriquement
The Cardiac Oak or a death in the darkling wood
Découvert sur le blog krapo arboricole (anciennement Krapo arboricole) où vous pourrez tout apprendre sur les arbres vénérables, une vraie mine d’or, j’ai eu un véritable coup de cœur pour ce conte fantastique d’un autre âge.
Le chêne cardiaque ou une mort dans le bois sombre. Une vieille femme, cardiologue des bois, ne peut malheureusement plus rien pour son chêne qu’elle soigne depuis son enfance…
The Cardiac Oak (a death in the darkling wood) – Alasdair Beckett-Kinghttp://www.dailymotion.com/video/xcfdfm
- Et pour plus d’infos, rendez-vous sur le site : The Cardiac Oak or a death in the darkling wood
Bille qui roule n’amasse pas brousse… heu mousse…
Bon Ok, je reconnais, le jeu de mot est plutôt nul ,) C’est en recherchant à savoir, il y a quelques temps, s’il existait encore des billes en terre, -reliquats de mes années primaires où billes et boulards en terre côtoyaient billes en verre- billes pour offrir à mes loulous, que j’ai fait la découverte du dernier fabriquant de billes en terre d’Europe et que celui-ci allait s’installer ici même plus en Haute-Vienne.
Portrait de cette toute jeune entreprise mise à l’honneur par « Haute-Vienne le magazine » n°109 de Mars 2010, dont le jeu de mot est bien plus mieux…
Billes qui roulent s’amassent en Brousse
Des billes en terre, à l’ancienne, ça existe encore ?! Eh oui, on en trouve chez nous, à Saint-Maurice les-Brousses et… paraît-il, nulle part ailleurs ! On les avait vu disparaître dans les années 80, puis réapparaître discrètement dans les années 2000. La véritable bille en terre est aujourd’hui remise au goût du jour par l’entreprise Bille en Brousse, pour le plus grand plaisir des enfants… et des plus âgés, qui retrouvent avec nostalgie le jeu-phare de leurs cours de récréation. L’auteur de cette judicieuse initiative : Yves Renou, déjà connu comme éditeur haut-viennois (Paille Editions), créateur de jeux de société “nature” impliquant cochons, ânes, vaches, potager (“La Baccade”, “Fais pas l’âne”, “La Vache amoureuse”, “Le Jardin fou”…) C’est sa fille Noémie qui accueille les journalistes du magazine de la Haute-Vienne dans l’atelier, et leur en raconte l’histoire. “Mon père, c’est un grand enfant ! Il est resté jeune dans sa tête, plaisante-t-elle. Il connaissait Charles Desbois, le gérant de Billes & Traditions dans la Drôme, qui voulait vendre. Il a eu un coup de cœur : la visite de l’atelier l’a convaincu.” Bille en tête,Yves Renou rachète alors l’affaire en 2008, installe l’atelier à Saint-Maurice et rapatrie tout le matériel : ce sont des bétonnières à billes appelées “coucourdes” datant de 1940. Elles proviennent de l’usine Barral fondée en 1876 et fermée en 1984 à cause de la concurrence de la bille en verre chinoise, reprises ensuite par Charles Des bois de 1999 à 2008. Un produit artisanal à la fois traditionnel et innovant
C’est donc une nouvelle aventure pour Yves Renou, et un sacré challenge, qu’il a choisi de relever en famille. S’il s’occupe de la partie promotion et diffusion des produits, c’est sa fille Noémie et son compagnon Vincent qui gèrent l’atelier de fabrication de A à Z : tourner, peindre, emballer les billes, suivre les commandes et les stocks, mais aussi servir en boutique, et assurer l’accueil de groupes (scolaires et autres)… Le jeune couple a passé un mois à se former auprès de l’ancien propriétaire. Car fabriquer des billes, ce n’est pas un jeu d’enfant ! “On a parfois des billes pas tout à fait rondes, et des fournées ratées ! Il faut de la patience et un bon coup de main ! explique Vincent. On utilise un noyau d’argile enrobé de chaux et de ciment. Il faut compter 2-3 heures de tournage, et presque un mois de séchage, avant polissage et peinture. Mais je ne vous en dis pas plus, on a un secret de fabrication bien protégé !” Noémie et Vincent ont repris l’ancien procédé de fabrication adopté dans les années 1940. Ce système d’agglomération à froid sans cuisson est complètement adapté aux technologies nouvelles et aux normes environnementales actuelles. Les billes nouvelle génération sont en outre réalisées à partir de peintures alimentaires et sans plomb. 500 kg de billes sortent ainsi de l’atelier chaque semaine. Des billes et des calots à jouer de toutes les couleurs, mates, nacrées, pailletées ou mouchetées… Noémie et Vincent développent aussi des billes jardin, plus légères et plus “nature”, et des billes de décoration intérieure, pour habiller pots, vases et verreries. Leurs projets cette année ? “Finir de rénover l’atelier, et installer un parc de jeu extérieur, un billodrome, pour nos visiteurs…” Contact : Bille en Brousse, 3 rue Jean Giraudoux à Saint- Maurice-les-Brousses, 05 55 39 02 11, www.billebrousse.com |
- Pour continuer sur le sujet, je vous invite à aller y voir d’un peu plus près grâce au reportage de DemainTV : Le renouveau de la bille en terre
- Interview : Yves Renou » Nous espérons une production de vingt tonnes par an «
- Visite virtuelle de Bille en Brousse grâce au Blog de l’école Jean Moulin Saint Maurice-les-Brousses.
- Pour la visite de l’exploitation « Bille en Brousse » c’est par ici
- Historique and co c’est ici
- Ils en parlent aussi :
Paper mail
Découvert sur L’éco-Blog : Papier VS Numérique : second round
Duel au sommet : Paper mail vs Terrific Numerichttp://www.dailymotion.com/video/xcx5agPar Papermail
Quand l’enveloppe papier se rebiffe…
Entre nous, il est vrai que j’aime bien recevoir du courrier (pas des factures non plus) et je guette souvent l’arrivée du facteur ! Pas vous ?